Auf den Beitrag: (ID: 5724) sind "27" Antworten eingegangen (Gelesen: 1345 Mal).
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für e_forever

Nutzer: turkishgirl
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geschrieben am: 26.11.2003    um 15:11 Uhr   
Il n'y a qu'une seule facon de sortir de Ville-Ville: on monte dans un train aérien, et il vous transporte aux villes de l'est, de l'ouest, du nord ou du sud. Le train survole les grandes terres vides où plus rien ne pousse depuis très longtemps. Où personne ne va, car il n'y a ni routes, ni chemins, ni paysages. Ville-Ville est entourée d'une muraille de métal. Et dans cette muraille, il n'y a qu'une porte. Une seule, et toute petite. Elle conduit aux Vacances....
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Nutzer: turkishgirl
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geschrieben am: 26.11.2003    um 15:23 Uhr   
Les Vacances sont la récompense des bons travailleurs. Et ce matin, Ludo vient de recevoir son premier permis de Vacances. Il a etendu parler de cette région qu'on appelle les "Vacances". On lui a dit que c'était un endroit délicieux, couvert d'herbe douce, où il poussait même des arbres immenses et des fleurs extraordinaires. On a dit encore à Ludo qu'on pouvait y faire tout ce qu'on voulait pendant le temps qu'on vous avait prêté. Absolument tout, et sans demander la permission aux gardes....
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Nutzer: turkishgirl
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geschrieben am: 26.11.2003    um 15:34 Uhr   
HALTE.

Ludo sursaute. Il baisse la tête devant le garde qui se tient devant la grande porte d'entrée du bout de l'allée. Sur la porte, les lettres dorées brillent: VACANCES.

Le garde demande à Ludo ses papiers.

Alors, Ludo sort son sac à papiers. Il donne les documents les uns après les autres:
- Permis de conduire aérien, permis de repas quotidiens, permis d'achat de vêtements de travail, permis de marche dans la ville principale des villes de l'est, permis de course à pied en dehors des heures de travail, permis de piscine.
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Nutzer: pilgrim
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geschrieben am: 26.11.2003    um 15:39 Uhr   
<center>
Oui, je connaîs cette histoire...
Französischbuch für Klasse 9...

Is das nicht irgendwie so dass der da stimmen aus den Bäumen hört, dass der seine Ziet nicht verschwenden soll oder so was??

~~PiLi~~

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"Autor"  
Nutzer: turkishgirl
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geschrieben am: 26.11.2003    um 15:43 Uhr   
- C'est tout? Vous ne croyez pas qu'il vous manque quelque chose?
- Oui, oui, c'est certain, J'oubliais. Je suis fatigué. Il faut m'excuser. Je... Le voilà. Le voilà, mon permis de Vacances.
Et Ludo sort d'une poche une carte rose avec sa photo.
Le garde soupire. Il prend la carte des mains de Ludo et s'enferme dans la petite maison à côté de la porte d'entrée des Vacances. Ludo jette un coup d'oeil par la fenêtre.
Il voit le garde qui met la carte dans une fente, l'écran qui s'allume et sur lequel un chiffre apparaît, puis un autre.
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"Autor"  
Nutzer: turkishgirl
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geschrieben am: 26.11.2003    um 15:45 Uhr   
(zitat)<center>
Oui, je connaîs cette histoire...
Französischbuch für Klasse 9...

Is das nicht irgendwie so dass der da stimmen aus den Bäumen hört, dass der seine Ziet nicht verschwenden soll oder so was??

~~PiLi~~

(/zitat)

hey noch da???
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Nutzer: Däumeline
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geschrieben am: 26.11.2003    um 15:48 Uhr   
Die hatten wir auch
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Nutzer: PolarStar
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geschrieben am: 26.11.2003    um 15:52 Uhr   
<center><i>muss man das verstehn
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"Autor"  
Nutzer: turkishgirl
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geschrieben am: 26.11.2003    um 15:54 Uhr   
Bientôt, le garde sort en disant:
- Trent-six mille deux cent quatre-vingt-seize.
- Quoi?
- Trent-six mille deux cent quatre-vingt-seize secondes. C'est à cela que vous avez droit. C'est la durée de votre permis de Vacances ici. Un peu plus de dix heures, si vous voulez. Dix heures en liberté.
- Mais... qu'est-ce que je dois faire en liberté, s'il vous plaît? C'est... c'est la première fois...
- Monsieur, monsieur, savez-vous ce que cela veut dire, LIBERTÉ? Vous ne devez rien faire, vous pouvez faire tout ce que vous voulez. Mais un conseil: dépêchez-vous. Le temps commence à passer. Il ne faut pas le perdre en bavardant.
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Nutzer: turkishgirl
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geschrieben am: 26.11.2003    um 15:55 Uhr   
(zitat) Die hatten wir auch (/zitat)

ich vestehe die geschichte nicht ganz... kannst mir ma alles etwas erläutern???
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Nutzer: Fairy_
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geschrieben am: 26.11.2003    um 16:03 Uhr   
<center>ô.Ô
Où est la plaisanterie?

A quoi ca rime que tu écris cette histoire ici?

Ca ne m'interèsse pas :P
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"Autor"  
Nutzer: turkishgirl
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geschrieben am: 26.11.2003    um 16:03 Uhr   
Ludo se retrouve dans un chemin sous les arbres. A l'ombre des arbres, l'air est frais, et Ludo a une envie terrible de s'allonger et de s'endormir en sucant une tige de fleur.
Au moment où il vient de s'allonger, une voix sort d'un haut-parleur dans l'arbre et crie:
- Ne perdez pas votre temps à faire des choses inutiles. Profitez de votre liberté. Quand Ludo entend cette voix désagréable, il n'a plus du tout envie de rester allongé là où il est. Il est furieux.
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"Autor"  
Nutzer: turkishgirl
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geschrieben am: 26.11.2003    um 16:16 Uhr   
Un peu plus loin derrière lui, il entend un bruit. Il se retourne: c'est une jeune fille. Avec de longs cheveux noirs, l'air fatigué et le teint blanc des ouvrières des usines secrètes souterraines.
La jeune fille sourit en chuchotant:
- Bonjour.
- Bonjour...
- Nous sommes bie surveillés, vous avez remarqué?
- Oui.
- Ca ne me change pas beaucoup du travail.
- Moi non plus...
Ludo s'approche doucement de la jeune fille et lui demande:
- Combien de secondes avez-vous eues?
- Trent-six mille deux cent quatre-vingt-dix-sept.
- Ah, comme c'est drôle! Moi, c'est deux cent quatre-vingt-seize. Une de moins. Vous devez être meilleure ouvrière que moi.
- Oh...pour une seconde.
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"Autor"  
Nutzer: turkishgirl
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geschrieben am: 26.11.2003    um 16:35 Uhr   
Ils rient en essayant d'étouffer leur rire. Ils se cachent un peu mieux derrière les arbres en voyant les gardes approcher. Ils se présentent. Elle s'appelle Eva. Mais le bruit d'un hélicoptère au-dessus d'eux les interrompt. D'un haut-parleur sort une voix qui leur crie:
- Ne rêvez pas. Faites quelque chose de votre liberté. Profitez-en. Regardez tout ce que vous pouvez faire. A dix mètres d'ici, vous pouvez monter dans un bateau sur un lac merveilleux. Un peu plus loin, voyez, voyez les pentes enneigées. Faites du ski. Soyez libres sur vos skis, libres sur les pentes.
Maintenant, c'est une voix de femme qui crie dans le haut-parleur:
- Au bout de l'allée, vous arriverez dans un vallon. Et là, vous pourrez mettre des ailes, OUI, et vous envoler jusque dans les champs tout en bas. Vous connaîtrez le plaisir de voler.
Ludo et Eva se regardent, stupéfaits.
Mais bientôt, une voix derrière les arbres demande:
- ATTENTION, ATTENTION. ON demande quelqu'un pour jouer aux cartes. Tous les jeux sont autorisés. Vous avez même la liberté de tricher, si on ne le voit pas. Jouez, jouez, profitez de votre liberté.
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Nutzer: MatrixNeo
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geschrieben am: 26.11.2003    um 16:45 Uhr   
<i><font color="#006600"> Ne sorry.. Franz hab ich oft genug in der Schule.. ich mag die Sprache und das Land nich so besonders
böahh... Franz :-(

bye rené </i></font>
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"Autor"  
Nutzer: DunklerStern
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geschrieben am: 26.11.2003    um 16:47 Uhr   
tu ma plz wer ne deutsche zusammenfassung rein..
hat no nie in meinem leben franz gehabt :-p
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Nutzer: KleinMedusa
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geschrieben am: 26.11.2003    um 17:23 Uhr   
<i><center><font face="Times New Roman" size="3">
Meine Fresse überall stiften se unruhe -.-

*Danke für Nichts*
Medi
...
...:::Self Control - Somebody´s watching me:::...
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"Autor"  
Nutzer: DMX009
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geschrieben am: 26.11.2003    um 17:40 Uhr   
Es gibt nur ein einziges facon, von Stadtstadt zu gehen:
man steigt in einen Luftzug und er transportiert Sie in den Städten des Ostens vom Westen, vom Norden oder vom Süden.
Der Zug überfliegt die großen leeren Böden, wo nichts mehr seit sehr lange wächst.
Wo geht niemand, denn gibt es weder Straßen noch Wege, noch Landschaften.
Stadtstadt ist mit einer Mauer aus Metall umgeben.
Und in dieser Mauer gibt es nur eine Tür.
Eine alleine und ganz kleine.
Sie führt zum Urlaub.



Der Urlaub ist die Belohnung der fleißigen Gutscheine.
Und heute Morgen hat Ludo seine erste Urlaubserlaubnis gerade erhalten.
Er hat ausgedehnt von diesem Gebiet, das man den "Urlaub" nennt, sprechen.
Man hat ihm gesagt, dass das ein köstlicher Ort war, der mit sanftem Gras, wo er sogar außerordentliche immense Bäume und Blumen schob, bedeckt war.
Man hat gesagt, dass man dort alles das, was man während der Zeit, die man Ihnen geliehen hatte, wollte, machen konnte, noch an Ludo.
Unbedingt gerade und ohne die Wächter an der Erlaubnis zu fragen.

Ludo schreckt zusammen.
Er senkt den Kopf vor dem Wächter, der sich vor der großen Eingangstür des Endes der Allee hält.
Auf der Tür glänzen die goldenen Briefe:
Urlaub.
Der Wächter bittet um seine Papiere an Ludo.
Ludo holt also seine Tasche an Papieren heraus.
Er gibt die Dokumente, die einen, nach den anderen:
- von von von Marsch in der Hauptstadt der Städte des von Lauf außerhalb der Arbeitszeiten erlaubten Ostens, Erlaubnis von Schwimmbad, erlaubtem Kauf von Berufskleidungen erlaubten täglichen Essen erlaubter Luftführerschein.



Ist das alles?
Glauben Sie nicht, dass es Ihnen etwas fehlt?
Das ist sicher, ich vergaß ja ja.
Ich bin müde.
Man muß mich entschuldigen.
Ich ... ihn hier.
Ihn hier, meine Urlaubserlaubnis.
Und Ludo, Schicksal von einer Tasche, einer rosa Karte mit seinem Photo.
Der Wächter seufzt.
Er nimmt die Karte der Hände von Ludo und schließt sich im kleinen Haus ein neben der Eingangstür des Urlaubs.
Ludo wirft aus dem Fenster einen Blick.
Er den Wächter, der die Karte in einen Spalt steckt, sieht, der Bildschirm, der angeht und auf dem einer beziffert, erscheint kann einen anderen.


Ludo findet sich auf einem Weg unter den Bäumen wieder.
Am Schatten der Bäume ist die Luft frisch und Ludo hat eine schreckliche Lust sich hinzulegen und einzuschlafen, indem er eine Stange von Blume saugt.
Eine Stimme kommt aus einem Lautsprecher in dem Moment, in dem er sich gerade hingelegt hat, im Baum heraus und er schreit:
- verlieren nicht Ihre Zeit, zu unnötige Sachen machen.
Profitieren Sie von Ihrer Freiheit.
Wenn Ludo diese unangenehme Stimme hört, hat er überhaupt nicht mehr Lust, wo er ist, da verlängert zu bleiben.
Er ist wütend.



Ein bisschen plus Ferne hinter ihm, er einen Lärm hört.
Er dreht sich um:
das ist ein junges Mädchen.
Mit langen schwarzen Haaren, der müden Luft und dem weißen Teint der unterirdischen geheimen Werklandarbeiterinnen.
Das junge Mädchen lächelt, indem es flüstert:
- guter Tag.
- guter Tag wir überwachte bie sind, Sie haben bemerkt ...?
- Ja.
- Ca ändert mich nicht sehr von der Arbeit.
- ich Ludo sich sanft an das junge Mädchen rückt heran und ihn um sich bittet auch nicht ...:
- wieviel Sie haben von Sekunden gehabt?
- Trent-sechstausendzweihundertsiebenundneunzig.
- ach, wie das komisch ist!
Ich, das ist zweihundertsechsundneunzig.
Eine von weniger.
Sie müssen bessere Landarbeiterin sein ich.
- unterstützt oh ... für ein.



Ils rient en essayant d'étouffer leur rire. Ils se cachent un peu mieux derrière les arbres en voyant les gardes approcher. Ils se présentent. Elle s'appelle Eva. Mais le bruit d'un hélicoptère au-dessus d'eux les interrompt. D'un haut-parleur sort une voix qui leur crie:
- Ne rêvez pas. Faites quelque chose de votre liberté. Profitez-en. Regardez tout ce que vous pouvez faire. A dix mètres d'ici, vous pouvez monter dans un bateau sur un lac merveilleux. Un peu plus loin, voyez, voyez les pentes enneigées. Faites du ski. Soyez libres sur vos skis, libres sur les pentes.
Maintenant, c'est une voix de femme qui crie dans le haut-parleur:
Am Ende der Allee werden Sie in einem Tal ankommen.
Und Sie da ja Flügel tun und wegfliegen können werden bis zu in den Feldern, Ganzem, unten.
Sie werden das Vergnügen kennen zu fliegen.
Ludo und Eva sehen sich, bestürzt, an.
Aber eine Stimme hinter den Bäumen fragt bald:
- Aufmerksamkeit, Aufmerksamkeit.
Man bittet um jemanden, um Karten zu spielen.
Alle Spiele sind erlaubt.
Sie haben sogar die Freiheit, zu betrügen, falls man ihn nicht sieht.
Spielen Sie, er spielt, er profitiert von Ihrer Freiheit.
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Nutzer: Sunshine308
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geschrieben am: 26.11.2003    um 17:47 Uhr   
<i>woaaaaah..franzözisch is bestimmt die bescheuerste sprache der welt!!!!!!!!
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"Autor"  
Nutzer: XxDarkLadyxX
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geschrieben am: 26.11.2003    um 17:55 Uhr   
<i>Was ein Glück, dass ich Latein hab
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"Autor"  
Nutzer: DMX009
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Anzahl Nachrichten: 2

geschrieben am: 26.11.2003    um 17:58 Uhr   
1.
Es gibt nur ein einziges facon, von Stadtstadt zu gehen:
man steigt in einen Luftzug und er transportiert Sie in den Städten des Ostens vom Westen, vom Norden oder vom Süden.
Der Zug überfliegt die großen leeren Böden, wo nichts mehr seit sehr lange wächst.
Wo geht niemand, denn gibt es weder Straßen noch Wege, noch Landschaften.
Stadtstadt ist mit einer Mauer aus Metall umgeben.
Und in dieser Mauer gibt es nur eine Tür.
Eine alleine und ganz kleine.
Sie führt zum Urlaub.


2.
Der Urlaub ist die Belohnung der fleißigen Gutscheine.
Und heute Morgen hat Ludo seine erste Urlaubserlaubnis gerade erhalten.
Er hat ausgedehnt von diesem Gebiet, das man den "Urlaub" nennt, sprechen.
Man hat ihm gesagt, dass das ein köstlicher Ort war, der mit sanftem Gras, wo er sogar außerordentliche immense Bäume und Blumen schob, bedeckt war.
Man hat gesagt, dass man dort alles das, was man während der Zeit, die man Ihnen geliehen hatte, wollte, machen konnte, noch an Ludo.
Unbedingt gerade und ohne die Wächter an der Erlaubnis zu fragen.


3.
Ludo schreckt zusammen.
Er senkt den Kopf vor dem Wächter, der sich vor der großen Eingangstür des Endes der Allee hält.
Auf der Tür glänzen die goldenen Briefe:
Urlaub.
Der Wächter bittet um seine Papiere an Ludo.
Ludo holt also seine Tasche an Papieren heraus.
Er gibt die Dokumente, die einen, nach den anderen:
- von von von Marsch in der Hauptstadt der Städte des von Lauf außerhalb der Arbeitszeiten erlaubten Ostens, Erlaubnis von Schwimmbad, erlaubtem Kauf von Berufskleidungen erlaubten täglichen Essen erlaubter Luftführerschein.






4.
Ist das alles?
Glauben Sie nicht, dass es Ihnen etwas fehlt?
Das ist sicher, ich vergaß ja ja.
Ich bin müde.
Man muß mich entschuldigen.
Ich ... ihn hier.
Ihn hier, meine Urlaubserlaubnis.
Und Ludo, Schicksal von einer Tasche, einer rosa Karte mit seinem Photo.
Der Wächter seufzt.
Er nimmt die Karte der Hände von Ludo und schließt sich im kleinen Haus ein neben der Eingangstür des Urlaubs.
Ludo wirft aus dem Fenster einen Blick.
Er den Wächter, der die Karte in einen Spalt steckt, sieht, der Bildschirm, der angeht und auf dem einer beziffert, erscheint kann einen anderen.

5.
Ludo findet sich auf einem Weg unter den Bäumen wieder.
Am Schatten der Bäume ist die Luft frisch und Ludo hat eine schreckliche Lust sich hinzulegen und einzuschlafen, indem er eine Stange von Blume saugt.
Eine Stimme kommt aus einem Lautsprecher in dem Moment, in dem er sich gerade hingelegt hat, im Baum heraus und er schreit:
- verlieren nicht Ihre Zeit, zu unnötige Sachen machen.
Profitieren Sie von Ihrer Freiheit.
Wenn Ludo diese unangenehme Stimme hört, hat er überhaupt nicht mehr Lust, wo er ist, da verlängert zu bleiben.
Er ist wütend.



6.
Ein bisschen plus Ferne hinter ihm, er einen Lärm hört.
Er dreht sich um:
das ist ein junges Mädchen.
Mit langen schwarzen Haaren, der müden Luft und dem weißen Teint der unterirdischen geheimen Werklandarbeiterinnen.
Das junge Mädchen lächelt, indem es flüstert:
- guter Tag.
- guter Tag wir überwachte bie sind, Sie haben bemerkt ...?
- Ja.
- Ca ändert mich nicht sehr von der Arbeit.
- ich Ludo sich sanft an das junge Mädchen rückt heran und ihn um sich bittet auch nicht ...:
- wieviel Sie haben von Sekunden gehabt?
- Trent-sechstausendzweihundertsiebenundneunzig.
- ach, wie das komisch ist!
Ich, das ist zweihundertsechsundneunzig.
Eine von weniger.
Sie müssen bessere Landarbeiterin sein ich.
- unterstützt oh ... für ein.


7.
Sie lachen, indem sie versuchen, ihr Lachen zu ersticken.
Sie verstecken sich besser hinter den Bäumen ein bisschen, indem sie die Wachen näherkommen sehen.
Sie stellen sich vor.
Sie heißt Eva.
Aber der Lärm von einem Hubschrauber über ihnen unterbricht sie.
Von einem Lautsprecher geht eine Stimme, die ihnen schreit:
- träumen nicht.
Etwas von Ihrer Freiheit gemacht.
Profitieren Sie davon.
Sehen Sie alles das an, das Sie machen können.
An zehn Metern des Hier können Sie in ein Schiff auf einen wunderbaren See steigen.
Sehen Sie weiter, sehen Sie die schneebedeckten Abhänge.
Vom Ski gemacht.
Sei frei über Ihre Skier, sei frei auf den Abhängen.
Das ist jetzt eine Stimme von Frau, die im Lautsprecher schreit:
Maintenant, c'est une voix de femme qui crie dans le haut-parleur:
Am Ende der Allee werden Sie in einem Tal ankommen.
Und Sie da ja Flügel tun und wegfliegen können werden bis zu in den Feldern, Ganzem, unten.
Sie werden das Vergnügen kennen zu fliegen.
Ludo und Eva sehen sich, bestürzt, an.
Aber eine Stimme hinter den Bäumen fragt bald:
- Aufmerksamkeit, Aufmerksamkeit.
Man bittet um jemanden, um Karten zu spielen.
Alle Spiele sind erlaubt.
Sie haben sogar die Freiheit, zu betrügen, falls man ihn nicht sieht.
Spielen Sie, er spielt, er profitiert von Ihrer Freiheit.
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